I/ Identité:
Nom: Sheridan
Prénom(s): Albery Edwyne
Date de naissance: 1 aout 1951
Age: 28 ans
Lieu de résidence: Chemin de Traverse
État civil : Célibataire
Métier: Fabriquant de balais
Membre d'une organisation ? Ordre du Phénix
Code du règlement: [CF
]
Personnage inventé ou prédéfini ? Inventé
II/ Profil du personnage: Description : « Le Chaos a trouvé son Maître »Bienvenue dans le festival du bordel le plus total car dépravé est sans doute le mot le plus adapté pour ce personnage.
C'est un homme assez grand (1,88m), au corps rude et musclé, à la peau légèrement halée, agréable aux regard, qui, il faut le dire, a du succès avec les femmes. Ah les femmes... voilà sa grande passion, celle qui lui a valu nombre échauffourées dont certaines lui laissèrent de cuisantes cicatrices, mais à cela il vous répondrait tout sourire « J'en valait la peine ».
Aux premiers abords, c'est son côté charmant que l'on surprend. Bien habillé, coiffé, il sait se faire apprécier par de galantes manières mais son côté incivilisé a tendance à le rattraper rapidement et à mettre à jour sa véritable personnalité. Pour résumer, il n' a pas de règles, pas de tabous. Albery parle comme il pense, et agit comme il parle... Ce qui signifie qu'il fait tout ce qui lui passe par la tête, vous imaginez le problème ? Rajoutez-y sa tendance pour l'alcool et vous avez là un mélange détonant. Cela dit, Mister Al n'est pas un couard, bien au contraire, la peur, il ne connait pas. Finalement, ça ne fait pas de lui quelqu'un de particulièrement plus courageux qu'un autre (Après tout, sans peur il n'y a pas de courage, non ?) juste un inconscient qui fonce dans le tas sans se soucier des conséquences et pour qui le casse-gueule est une distraction.
Vous voulez une autre particularité ? Il ne hait rien ni personne. Il donne parfois l'impression de vivre dans une autre dimension et même, lorsqu'il est sobre, d'expirer un peu de sagesse.
Vous l'aurez donc compris, la bienséance n'est pas un trait qui le caractérise.
Il ne se projète jamais dans l'avenir car dans son esprit, il peut mourir d'un moment à l'autre et c'est un peu là sa philosophie... Vivre au jour le jour, comme si chaque minute était la dernière, alors faisons fi des bonnes manières, tout cela n'est qu'hypocrisie, car l'Homme dans sa véritable nature n'est pas bienséant et convenant. Ainsi s'estime t-il plus honnête que les autres, à sa façon. Mais il fait parfois preuve d'un peu trop de réalisme !
Plus secrètement, c'est un amoureux de la vie plein d'humour (Il rit de tout) qui fait preuve de pas mal de positivisme et qui ne semble jamais trop inquiet, ce qui est rassurant dans les périodes sombres et démoralisantes, mais surtout, c'est un véritable justicier qui n'hésite pas à protéger les plus faibles. Enfin, cet homme est d'une fidélité à toute épreuve. Donnez lui un secret et il l'emportera dans la tombe et même au-delà.
Qualités principales: Honnêteté (Un peu trop parfois), plein d'humour, fidèle, sociable, a un grand sens de la justice
Défauts principaux: Imprudent, violent (J'entends par là qu'il foncera dans une bagarre avec plaisir et peut parfois même les provoquer), légèrement alcoolique, volage, imprévisible et dévergondé (wouah ça fait beaucoup)
Passions/Hobbies: La fête, les femmes, le rhum...
Famille : C'est un sang-mêlé. Sa mère, Marianne, était une commerçante moldu qui épousa son père, Alfred fabriquant de balais. Tout deux sont décédés et il n'a pas d'autre famille.
Histoire: La naissanceLa vie d'Albery ressemble trait pour trait toute entière à un lendemain de cuite. Ça naissance à elle seule était un chaos inimaginable. Sa mère accoucha lors d'une réception chez des amis, sur la moquette au milieu du salon, entre les petits fours et les plateaux de crevettes... et c'est son mari, Alfred, qui avait dû jouer la sage femme alors qu'il avait plus d'alcool dans le sang qu'un baril de cognac. Al s'était déjà demandé si son amour pour l'alcool ne venait pas des vapeurs expirées par son père lors de sa venue au monde...
L'enfanceA partir de ce jour, on pouvait dire que plus rien ne fut comme avant. L'heureux couple décida de s'installer sur le Chemin de Traverse, directement au dessus de leur magasin de balais. Marianne avait quitté son travail et était devenue l'employée de son mari. Ainsi coulèrent-ils leurs jours, alors que leur fils grandissait d'année en année. Ah leur fils... Sa mère avait voulu lui donner le nom de sa propre mère, Albery... Allez savoir pourquoi ! En tous les cas, si ses camarades le taquinaient, c'était avec une grande joie qu'il répliquait, éborgnant, griffant, mordant... Et lorsqu'on ne l'insultait pas il frappait quand même. Et oui, on la lui faisait pas à lui, il savait bien que les autres garçons de son âge le prenaient pour une fille, avec ses beaux yeux bleus et ses boucles blondes... Alors dans le doute...
PoudlardSes petits airs d'angelot innocent désarmait totalement ses parents qui souffraient de le punir et cela, le garçon savait en jouer, manipulateur né. Ce n'est que bien plus tard qu'Albery parvint à se faire quelques camarades, lorsqu'il entra à Poudlard. Cette école était pour lui un souvenir merveilleux même s'il avait faillit se faire renvoyer au moins dix fois. (Il apprit longtemps après l'avoir quitté qu'Albus Dumbledor n'y avait pas été pour rien.)
Ainsi, son chemin fut jonché d'innombrables conneries en tout genre. Il avait découvert très tôt que les filles étaient une source d'intérêt intarissable. Du coup, il avait prit une multitude de gifle tout le long de son adolescence à trop vouloir regarder ce qui se passait sous leur jupe, à trop vouloir découvrir de quoi étaient faites leurs excroissances étranges sur la poitrine et à trop vouloir goûter le sucre de leurs lèvres. Mais cela n'allait pas que dans un sens. Suite à un pari, il s'était mit entièrement nu devant la grosse dame du tableau de sa Maison. Ses hurlements stridents avaient éveillés tout Poudlard et il lui fallu des jours pour accepter de réapparaitre.
Mais attention, avec l'âge il s'était assagit et aimait aussi tester des sorts dans les toilettes et parfois y mettre le feu, sans oublier les bagarres, innombrables.
Lors de sa quinzième année sa mère mourut. Elle nettoyait les fenêtres à l'étage et apeurée par un mille pattes tomba à la renverse, sa tête tombant la première contre le sol, se brisant la nuque d'un coup net, les jupons retroussés. A partir de ce jour, Al changea de comportement. Son père le prit en aparté.
« Fils... Tu sais que ta mère t'aimait plus que tout au monde. Je ne serai pas éternel... Tu es un jeune homme intelligent. Je veux que tu fasses quelque chose de ta vie. Albery, tu dois montrer de quoi tu es capable, tu dois montrer qui tu es. »Ce discours l'avait changé à jamais. Parce qu'il était beau mais parce qu'il réalisa que la vie pouvait s'arrêter aussi promptement qu'elle avait commencé. Il pouvait mourir demain. Non, il n'était pas un demeuré, et il le prouva. Il devint un très bon élève, pas dans toutes les matières mais celles qui étaient les plus importantes pour lui -ce qui toutefois ne l'empêcha pas de commettre des insanités, comme tenter une aventure avec l'une de leur professeurs, Mademoiselle Allay.
La vie d'hommeSon père ne s'était jamais remit de la mort de sa femme et la maladie le conquit. Il continua de travailler mais Al ne pouvait que constater la dégénérescence progressive.
Enfin il arriva à ses fins. Il obtint les A.S.P.I.C nécessaires et devint par la suite, Sorcier d'élite de la Brigade de police magique. Il démontra des aptitudes exceptionnels en toutes circonstances. Il possédait assez de qualités pour persévérer dans cette voix, mais la discipline n'était pas une chose naturelle chez lui et bien vite, malgré ses compétences exceptionnelles, il ne put se plier au règlement et aux bonnes manières qu'un homme de son rang se devait de tenir.
La mortSon père perdit la vie à son tour. Il était mort durant son sommeil et même si Albery ressentait énormément de chagrin, il ne pleura pas, soulagée que sa souffrance prenne fin. Car après tout, s'il avait vécu, cela avait été uniquement pour attendre que son fils devienne un homme, prolongeant ainsi sa vie cruellement... N'avait-il pas fait assez souffrir son père... Le jeune homme perdit pied ce jour là et s'enfonça dans l'alcool. Plusieurs mois passèrent ainsi, dans la crasse et la vilénie. Il ne se nourrissait presque plus et voyait les jours passer un à un comme des vaches regardent les trains derrière leur enclos de barbelés, l'air bête, la bave aux lèvres et les pieds dans la boue.
Une nuit alors qu'il sortait se réapprovisionner en vinasse premier prix, il assista à une scène qui le fit sortir de sa léthargie. En plein Londres, une jeune femme était assaillit par cinq brutes rugissantes. D'instinct, la patte trainante, il en saisit un par le col en lui harcelant le visage de coups. Mais à vrai dire, il était véritablement anesthésié, engourdit, hébété... Les cris de la jeune femme n'y changèrent rien et il sombra dans l'inconscience lorsque les autres s'abattirent sur lui.
A son réveille, le visage de jeune fille gisait, ensanglanté près du sien, sans vie.
Si jamais il ne parla de cet épisode, il ne se pardonna pas cet écart, ni la ruine qu'il avait été, tant absorbé par sa médiocrité qu'il était devenu tout ce qu'il avait combattu.
La renaissanceCet électrochoc, il le vécu comme un poids mais indéniablement, c'était aussi un bien. Il reprit l'affaire en ruine de son père. Il avait apprit avec lui à faire des balais et à vrai dire, cela lui convenait. Il passait ses journées à vendre ces objets enchantés et se révéla très doué dans ce domaine. C'est de cette façon qu'il sorti la tête de l'eau, gagnant assez sa vie pour redevenir quelqu'un de convenable. Cela dit, il n'abandonna pas la chopine, elle était un morceau de son passé et c'était impossible pour lui de s'en séparer. Malgré tout, il redevint lui-même.
L'ordreAlbery fréquentait souvent le Chaudron Baveur et c'est là qu'il fit connaissance avec Sirius Black un soir où trois hommes vêtus sombrement s'en étaient prit à lui. Outre son amour pour les rixes, 3 contre 1 ce n'était pas très juste et il rééquilibra la balance. Le temps passa et il noua une certaine amitié avec cet personne avec qui il se trouva quelques points en commun. Étant donné que c'était une chose plutôt rare, il resta en contact avec lui jusqu'au jour où Albus Dumbledor passa la porte de sa boutique. Ce fut une rencontre décisive pour lui puisqu'il rejoignit l'ordre peu de temps après. (Dsl je n'ai pas trop détaillé cette partie)
Signe(s) particulier(s) : Aucune sinon de multiples cicatrices dont une au dessus de l'arcade droite. Sinon, vous le trouverez le plus souvent avec un cigare au bec.
Capacité(s) spéciale(s) : Excellent sorcier qui parvient, même saoul, à manier la magie avec brio.
Evolution potentielle et/ou souhaitée : Aucune
III/ Profil scolaire:
Description de votre scolarité : Un parcours tout d'abord chaotique, le travail était sa bête noire. Albery était un trublion qui, il faut le dire, avait des notes plus que médiocre dans toutes les matières. Lors de la mort de sa mère il changea et révéla sa ruse et ses compétences et parvint enfin à ses fins. Sans doute se souviendrait-on de lui longtemps pour ses frasques et son caractère indomptable.
Matières favorites: Défense contre les forces du mal, potions et sortilèges
Matières moins appréciées: Divination, histoire de la magie
Ancienne maison : Gryffondor
IV/ Votre profil:
Age: 25
Comment avez-vous connu Le Crépuscule des Sorciers, un Autre Destin ? Top site
Avez-vous déjà pratiqué des jeux de rôle sur forum ? Oui
Vous engagez-vous à poster régulièrement sur le forum ? Si oui, à quelle fréquence ? Au moins une fois par semaine