Nom: Belight
Prénom(s): Scylla
Date de naissance: 20 Mai 1950
Age: 29
Lieu de résidence: Après avoir vécu dans le comté du Nottinghamshire durant son enfant, la jeune femme s’est installée au cœur de Londres, dans l’immense rue de Oxford Street. Une rue bondée de moldus et très proche du lieu de travail de Scylla.
Etat civil : Veuve ( Même si elle n’était pas encore mariée lorsque son conjoint est mort )
Métier: Guérisseur
Membre d'une organisation ? Ordre du Phénix
Code du règlement: [CF
]
Personnage inventé ou prédéfini ? Inventé
Quel rang souhaitez-vous ? Un cœur meurtri prêt à se battre.
Niveau de Potions ?
- II/ Profil du personnage:
Description physique: Le premier mot qui vient à l’esprit en voyant Scylla? Peut-être « belle » ou peut-être « fraiche ». C’est ce que l’on peut ressentir au premier regard qu’on lui jette. Pourtant derrière cette image de fraicheur et de joie de vivre, se cache un cœur meurtri.
La jeune femme a une silhouette élancée, le corps mince, une peau aussi claire et aussi froide que le cristal. Ses longs cheveux blonds, plus éclatants que les blés, sont presque toujours lâchés sur ses épaules, encadrant un visage fin, harmonieux et séduisant. La douce Scylla a un front assez grand où au bas, deux sourcils parfaitement dessinés mettent en valeur une paire d’yeux éclatant : des iris gris clairs, tintés de bleu et de quelques reflets jaunes qui ressortent au soleil. Eux sont soulignés par des cernes quasi omniprésents - oui même le matin au réveil! Pourtant la jeune femme manque pas de sommeil ( au contraire presque ), mais elles sont toujours là, assombrissant son regard et lui donnant un air passablement fatigué. Si l’on observe bien cette élégante femme, on peut s’apercevoir que son regard est intense et captivant. Il s’agit probablement de la seule partie du corps qui sache témoigner ses véritables sentiments. Sans être hypocrite, Scylla déteste ressentir ses sentiments. Alors elle se force à sourire quand il faudrait pleurer, elle se force à rire quand elle est blessée. Peut-être a-t-elle simplement peur de montrer ses faiblesses à quiconque. Pourtant, seul son regard peut trahir ses intenses émotions…
Hormis cela, la jeune Belight a un nez assez long, relevé, avec de chaque côté des pommettes hautes et des belles joues rebondies. Des que ses lèvres s’étirent un sourire, nous pouvons remarque l’apparition de plusieurs fossettes, une au menton et une en dessous de sa bouche à droite. A noter également la présence de plusieurs grains de beauté sur sa joue droite.
Description psychique: La principale qualité que l’on peut décelée chez elle lorsqu‘on la connaît un tant soit peu? Certainement l’intelligence, le sérieux ou la capacité phénoménale qu’elle a à comprendre toutes les différentes choses qui l’entourent. Qui a dit que les blondes étaient des bécasses sans cervelles ? Une personne qui ne devait certainement pas connaître cette Mlle je sais tout et qui n’avait, mais alors, absolument pas le même quotient intellectuel! Oui, car Scylla adore se cultiver, lire et réfléchir sur n’importe quel domaine! Elle se demande même comment font les personne qui n’ont pas l’esprit de recherche pour vivre! Certes, il est vrai que l’intelligence dont elle fait preuve lui dévoile un léger complexe de supériorité mais la belle n’en laisse rien paraître. C’est une jeune femme adorable et très gentille du moment que l’on ne l’énerve pas et qu’elle ne soit pas de mauvaise humeur. En effet, elle est assez impulsive et lorsque quelque chose la contrarie ou l’agace elle règle le problème immédiatement. Soit par la force, soit par la violence de ses mots, ou lorsqu’elle peut rester calme, elle tente de dénouer la situation posément et ne pas envenimer les choses. En quelque sorte, elle fait preuve d’un mauvais caractère lorsqu’il y a un pet de travers et qu’elle n’est pas d’humeur. La jeune fille peut parfois faire preuve de violence car elle a beau paraître mince et fragile, les coups qu’elle porte lors d’une colère sont très rapides. Seulement pour en recevoir il faut déjà la pousser au bout de ses limites. Elle maîtrise également parfaitement sa baguette et apprécie les duels où sa rapidité peut être mise à l‘épreuve ainsi que son esprit de compétition. Aaah cet esprit de compétition… Elle ne supporte pas être battue ou ne pas être devant les autres. Un tantinet perfectionniste, cela se voyait particulièrement lorsqu’elle jouait au Quidditch où elle donnait le meilleur d’elle même. Cette jeune fille adore le sport, déborde d’une énergie farouche et joviale qu’il faut à tous prix calmer. De plus, elle est très impatiente et son perfectionnisme la pousse à observer tous les détails présents autour d’elle et à analyser les situations qui se présentent. Tout cela l’aide ainsi à développer sa mémoire.
Ensuite, pour les contacts humains, avec les autres, c’est assez… étrange. Elle n’a généralement pas de problème pour se lier d’amitié avec les personnes qu’elle rencontre, aimable, avenante, s’intéressant aux discussions - même si elle n’en n’aurait rien à faire au fond d’elle. Scylla arrive cependant sans problème à se détacher des gens qu’elle voit tous les jours et avec qui elle lie amitié. Oui bizarre n‘est ce pas? Mais avant que Scylla trouve cette amitié profonde et réellement digne de ne pas oublier cette personne il faut beaucoup de temps et de réflexion. Évidement cela ne veut absolument pas dire qu’elle n’apprécie pas cette personne mais juste que même si l’autre ne s’en aperçoit pas, elle a du mal à se lier. Elle a connu une seule et unique personne qui est arrivée à percer le mystère qu’elle est. Son nom était Déméter. Et ils étaient fiancés. La belle ne croit pas au grand amour, mais cet homme était probablement celui qui s’en était le plus approché… avant qu’il ne se fasse tuer. (cf l’histoire)
A par cela, cette jeune femme n’est absolument pas timide, n’hésite pas à dire ce qu’elle pense. Elle est peut-être légèrement asociale: enfin dans le sens ou elle ne parle souvent pas la première à la personne en face d’elle et attend que ce soit cette personne qui se dévoue. Mais évidemment cela dépend toujours de la situation et de son état d’esprit du moment. Lors des conversations, elle n’a pas particulièrement l’habitude de parler d’elle. Scylla aime mieux écouter son locuteur raconter ce qu’il a dire et analyser ce dont il parle. Cependant elle apprécie tout de même mettre en avant son intelligence et sa culture - c’est toujours assez glorifiant non?
En outre, nous pouvons dire que généralement, encore une fois, elle s’entend mieux avec les garçons qu’avec les filles. Les filles sont tellement compliquées! La preuve: elle en est une! Non, plus sérieusement elle a plus de mal à s’entendre avec les filles car elles lui apparaissent parfois comme « mijaurées », ne se souciant que de leurs petits problèmes personnels qui, non seulement, n’intéressent personne mais en plus sont beaucoup moins grave que la réalité! Et oui, elle déteste les gens qui se plaignent! C’est donc pour cela que les conversations masculines, qui tournent naturellement plus vers « quelle équipe de Quidditch gagnera la coupe du monde cette année » lui plaisent plus.
Enfin, nous arrivons au dernier point important de son caractère. Comment une jeune fille qui semble être si compliquée arrive pourtant à s’entendre avec quasiment tout le monde? Et bien, son sens de l’humour pardi, et son côté un peu folle! Son sourire malicieux et son rire un peu étrange font craquer les personnes avec qui elle discute. La belle ne dit jamais non pour partir sur un côté un peu loufoque d’un dérivé de conversation et se mettre à rire jusqu’à épuisement. Elle fait beaucoup de remarques blagueuses, gentilles qui mettent rapidement les personnes en confiance. Ou du moins, cette joie de vivre se ressentait principalement avant la mort de son fiancé… Peut-être arrivera-t-elle à nouveau à trouver cet humour et cette fraicheur ?
Qualités principales: Intelligente, sérieuse, souriante, gentille, franche, forte, très perfectionniste, sportive, battante, toujours prête à aider les autres.
Défauts principaux: Colérique, a peur de ses sentiments, impatiente, parfois violente, assez orgueilleuse, renfermée sur elle même, souffre en silence.
Passions/Hobbies: Le Quidditch lors de sa jeunesse, la lecture, la médecine.
Famille : Aucune enfant, fiancé tué, parents disparus. Elle est seule…
Mais parlons tout de même de son origine. Scylla a l’incroyable chance de descendre d’une famille uniquement composée de... sang de bourbes! Même si elle même n’en est pas une. Et oui! Ni sang pur, ni sang mêlée, ni née-moldus! Lorsqu’on lui pose la question « tu es une sang pure ? » la belle répond simplement « mes parents sont sorciers, si c’est cela que tu veux dire! ». Comme ça, pas d’ambiguïté! En effet la jeune Belight a ses parents qui sont sorciers: Sa mère est une née-moldue alors que son père déscend lui même d’un sang de bourbe et d’une descendante de sang de bourbe. Assez compliqué non? Enfin il suffit de retenir qu’elle n’a pas de sang pur dans les veines mais que ses parents sont tout de même sorciers. Comme cela tout le monde est content! Même ces vils sorciers cagoulés qui suivent Vous-savez-qui comme son ombre…
Histoire: A présent parlons un peu de la jeune Scylla! La belle est donc née le 20 Mai 1950, un jour parfaitement ensoleillé et agréable, dans la matinée. Elle même était un vrai rayon de soleil pour ses jeunes parents qui venaient donc d’avoir leur première et unique enfant. Ensuite se posait la question : « Comment pouvait-on appeler un bout de chou pareil ? » C’est ainsi qu’ils ont eu l’idée de l’appeler Scylla, référence à l’Antiquité. Le prénom Scylla vient du Grec ancien et en effet, dans la mythologie Scylla était une nymphe d’une grande beauté. Elle vivait parmi les Néréides et le fils de Poséidon était tombé amoureux d’elle mais elle le repoussa. Se suivit alors une multitude de péripéties et de conspirations. Mais cela importait peu aux jeunes parents Belight. Scylla était un magnifique prénom et leur petit bébé était aussi belle que cette nymphe!
La jeune fille vécu donc dans son cocon familiale avec des parents attentionnés et très aimants. Sa mère était Guérisseur, ayant toujours très bien travaillé à l’école et ayant donc reçue toutes les notes nécessaires pour envisager ce métier. Son père de son côté était beaucoup plus sportif et intéressé par - Devinez quoi! - le Quidditch! Ainsi après avoir travaillé dans différentes boutiques liées au Quidditch, il rencontra la mère de Scylla qu’il épousa et voulu alors ouvrir son propre commerce. Il l’a tenu durant de nombreuses années, sur le chemin de Traverse : les sorciers ont l’habitude d’appeler cette boutique le « Magasin d'Accessoires de Quidditch ». En effet nous trouvons tous les bibelots liés à ce sport! Cependant son père était rarement présent dans ce commerce à son léger mécontentement : il le fallait bien car il s’était lié avec un fabriquant de balais réputé dans plusieurs pays et ce dernier comptait sur le père de la jeune fille pour, peut-être, ouvrir de nouvelles boutiques dans d’autres villes et d’autres pays et ainsi mettre en avant les nouveaux modèles créés par ce fabriquant. Un vrai chantier tout cela!
Enfin, ses parents, malgré leurs travails bien remplis, avaient parfaitement le temps de s’occuper de leur petite fille qui grandissait de jours en jours. Bien évidemment la belle hérita du même hobbie que son père! Ce dernier entreprit de lui apprendre le Quidditch - dès qu’elle fut assez grande pour se tenir sur un balai - dans leur immense jardin de leur petite maison dans le Nottinghamshire ( A noté que c’est dans cet comté que Kennilworthy Whisp, l'auteur de Le Quidditch à travers les Ages réside! ). C’est ainsi que le père, la fille et la mère supportaient chaque match que l’équipe des Harpies faisait et la petite Scylla s’amusa vite à décorer sa chambre aux couleurs de son équipe favorite. Quelques années plus tard, elle rêva même de faire partie peut-être un jour de ce groupe, les Harpies de Holyhead, fondé en 1203 et uniquement composé de joueuses! Mais cela ne fut qu’une rêve de petite fille…
Ainsi la belle grandit paisiblement et, un jour, au grand bonheur de sa famille, Scylla manifesta ses pouvoirs. Elle était très jeune, - beaucoup plus que la moyenne - et allait fêter ses quatre ans dans quelques mois. Ce qui se passa? Très simple, elle utilisa sans s’en rendre compte et sans réellement comprendre ce qui se passait un sortilège de lévitation suivit d’un sort de disparition. Ses parents venaient d’acheter un table de chevet qu’ils installaient dans leur chambre. Un table assez basse, ronde, en bois vernis, exactement comme les grandes personnes aiment pour que cela donne « un style » à la pièce. Mais Mlle n’était pas du tout de cet avis! Non la petite ne trouvait pas cette table jolie, aussi grande qu’elle à cet âge et tellement… ‘‘marron ’’! Ce fut donc avec la présence de ses parents à ses côtés que la jeune Scylla, une grimace de mécontentement aux coins des lèvres, vit la table s’élever dans les airs comme un bouchon de champagne. Et alors que le couple se demandait ce qui se passait, hop!, la table disparu soudainement, juste avant d‘atteindre le plafond. Leurs yeux étonnés se tournèrent vers leur jeune enfant, assise par terre, riant aux éclats et tapant dans ses mains à cette disparition. Elle n’avait pas quitté cette table des yeux une seule seconde...
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L’héritière Belight grandit vite et à partir de sept ou huit ans, elle accompagnait son père à la boutique. Ainsi, elle était informée de toutes les nouveautés du Quidditch et passait ses journées à flâner dans les commerces environs, sur le chemin de traverse. Jamais trop loin, car étant encore très jeune. Elle allait donc chez le glacier qui était juste à côté, la librairie qui était presque en face et l’animalerie qui était un peu plus loin.
Le jour de ses onze ans, alors qu’ils fêtaient son anniversaire avec un repas magiquement copieux, un hiboux immense s’engouffra par la fenêtre. Il laissa tomber dans un hululement sonore une enveloppe jaunit sur les genoux de la petite Scylla. L’emblème de Poudlard reflétait à la lueur des bougies. Enfin! Elle recevait la lettre de la plus grande école de magie! Elle attendait cela avec la plus grande impatience! Scylla se mit à sauter dans la pièce, criant qu’elle allait enfin voir à quoi ressemblait ce château si célèbre, voir jusqu’où la barbe du professeur Dumbledore arrivait et qu’elle rencontrerait plein de sorciers de son âge! Quoi de mieux? Elle était aux anges. Ce fut donc quelques quatre mois après qu’elle fit son entrée à Poudlard, l’école des sorciers avec une joie gigantesque. Sa première année se passa merveilleusement bien, et les six autres années furent à son effigie. Scylla passa sept années studieuses et trouva rapidement sa vocation lors de sa quatorzième année : devenir Guérisseur, comme sa mère. Elle eu sans problème ses ASPICS avec la mention optimale, et, à la sortie de l’école, poursuivit ses études médicales. Elle devint interne à l’âge de 23 ans, et fini entièrement son cycle de Guérisseur à l’âge de 25 ans, intégrant le personnel de l’Hôpital St Mangouste.
Cette période de sa vie a probablement été la plus merveilleuse. En plus d’évoluer dans un métier qui lui plaisait, la belle était également comblée d’amour. Déméter et elle s’aimaient depuis qu’ils avaient 22 ans, d’un amour passionné, fou et irrésistible. Ils étaient âgés de 26 ans lorsqu’ils avaient décidé de se marier. Depuis quatre ans, ils connaissaient le bonheur ensemble, remplissant leur vie d’amour et de joie. Chose qui avait manqué durant l’adolescence de la douce Belight. Ensemble, ils avaient décidé de combattre le mal qui sévissait dans le pays. Etant toujours en contact avec Dumbledore, ils n’avaient pas hésité à s’allier à ses côtés et à rentrer dans les branches de l’Ordre du Phoenix.
Néanmoins, durant l’hiver 1975, cette idylle parfaite avait brusquement cessé. Mort. Tué. Assassiné. La blonde se retrouvait seule, et se renferma comme une rose qui se fane. Son sourire si magnifique était devenu lambeau. Son regard fuyant. Et elle avait sombré dans une longue et agonisante dépression. Elle qui pensait qu’aucun sentiment ne pourrait jamais l’affecter… Voilà qu’elle s’était bien trompée ! Aucune épreuve n’avait jamais été aussi affreuse… Il s’était fait assassiné par Celui Dont On Ne Doit Pas Prononcer le nom lors d’un attentât contre les moldus. Malheureusement, Déméter s’était trouvé à cet endroit au mauvais moment… Il s’était battu, défendu, mais la seule vision qu’il avait pu avoir avant de sombrer n’était pas le beau visage de sa dulcinée, mais le regard rougeoyant et vide du Seigneur des Ténèbres…
Après deux longues années de dépression intense, ne vivant pluque pour son travail, délaissant les missions de l’Ordre, elle était tout de même arriver à se relever progressivement. Oui il n’était plus là. Elle n’avait donc plus rien à perdre. Elle se répétait inlassablement :
IL l’avait tué. ELLE allait le combattre. Aider les malades à Ste Mangouste ne suffisait plus. Scylla allait revenir. Elle allait se battre, lutter. Ses monstres ne pouvaient pas gagner. Pour lui, elle devait agir…
« Mon cœur est vide, ma vie n’a plus de sens. Je n’ai plus rien à perdre. Venez ».
Signe(s) particulier(s) : Une cicatrice en forme de lune au bas du dos.
Capacité(s) spéciale(s) : Elle possède les bases de l'occlumancie , étant une personne très douée pour cacher ses sentiments et donc cacher son esprit aux autres.
Evolution potentielle et/ou souhaitée : /
Description de votre scolarité: (Voir son histoire) Scylla était une très bonne élève, Serdaigle dans l’âme. Elle passait la plupart de son temps à travailler, ce qui explique particulièrement bien les notes optimales qu’elle a reçu à ses ASPICS.
Matières favorites: Elle aime à peut près tout. Peut-être, une légère préférence pour les Enchantements et la Botanique (d’où le métier de Guérisseur).
Matières moins appréciées: La Divination, un vrai cauchemar !
Ancienne maison : Serdaigle.
Age: Quelle indiscrétion dites donc
Comment avez-vous connu Le Crépuscule des Sorciers, un Autre Destin ? Ah hum… Pour faire simple : Jo et Cé !
Avez-vous déjà pratiqué des jeux de rôle sur forum ? Yes
Vous engagez-vous à poster régulièrement sur le forum ? Si oui, à quelle fréquence ? Je vais essayé mais je promet rien éè Cet été c’est sûr en tout cas !
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